Alors que l'annonce de la suppression des Zones à Faibles Émissions (ZFE) dans plusieurs agglomérations avait été accueillie comme une victoire par de nombreux usagers de la route, la réalité juridique est tout autre : rien n’est encore définitif. En effet, le projet de loi adopté par l’Assemblée nationale début juin reste suspendu à l’avis du Conseil constitutionnel. Tant que ce dernier ne s’est pas prononcé, les ZFE restent bel et bien en vigueur.

Alors que les autorités poursuivent leur déploiement des Zones à Faibles Émissions (ZFE) sur le territoire français, la Fédération Française des Motards en Colère de Seine-et-Marne (FFMC 77) dénonce avec force une mesure aussi brutale qu’inefficace. Sous couvert de préoccupations environnementales, les ZFE traduisent en réalité une fracture sociale croissante, où les plus modestes sont une fois de plus les grands sacrifiés. Ce rejet est désormais massivement partagé : selon un sondage réalisé par l’Ifop et publié fin avril 2025, huit Français sur dix souhaitent purement et simplement la suppression des ZFE. Un désaveu cinglant pour une politique imposée sans réelle concertation.

Le 17 mai prochain, la Fédération Française des Motards en Colère appelle à une grande mobilisation nationale contre les Zones à Faibles Émissions (ZFE), en partenariat avec le collectif « Les #Gueux » et avec le soutien de nombreuses associations comme la FACAP (Fédération des associations de commerçants et artisans de Paris) et la Ligue de Défense des Conducteurs.

Ce week-end, sous un ciel radieux et des températures idéales, les motards de Seine-et-Marne ont pris part à l’opération "Une Rose, Un Espoir" du Secteur Paris Sud-Est. Dans une ambiance chaleureuse, solidaire et résolument tournée vers l’humain, ils ont parcouru les routes du département pour aller à la rencontre des habitants, une rose à la main, un message d'espoir au cœur.

Le 27 mars dernier, le Conseil d’État a tranché : bien qu’une immense majorité des ralentisseurs implantés en France soit reconnue comme non conforme aux normes en vigueur, ils ne seront pas démolis. Cette décision, loin d’être anodine, inquiète profondément la FFMC 77. Car pour nous, motards, ce sont nos vies qui sont en jeu, pas seulement des textes administratifs.

Ce week-end, les motards de la Fédération Française des Motards en Colère de Seine-et-Marne (FFMC 77) ont frappé fort en menant une opération aussi originale que parlante : la décoration de nids de poule avec de la paille et des œufs. Une manière à la fois humoristique et percutante de pointer du doigt un problème qui met quotidiennement en danger des milliers d’usagers : la dégradation de nos routes.

Les deux-roues motorisés, comme les motos et les scooters, offrent des avantages indéniables en matière de mobilité urbaine. Leur légèreté, leur faible consommation de carburant et leurs moindres émissions de CO₂ en font une solution pertinente pour réduire l’impact écologique de nos déplacements.

Après 26 années de lutte menée par la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC), la circulation inter-files (CIF) est enfin reconnue et légalisée en France. Cette décision marque un tournant décisif pour les motards, mais aussi pour tous les usagers de la route. Elle vient mettre un terme à une zone grise qui entourait cette pratique largement répandue et tolérée, sans pour autant être officiellement encadrée.

Le casque moto est un symbole incontournable de la sécurité routière en France, mais son adoption n’a pas toujours été aussi évidente qu’aujourd’hui. Dans les années 1960, alors que les deux-roues motorisés connaissaient une popularité croissante, les accidents mortels augmentaient de manière alarmante. À cette époque, le casque n'était pas obligatoire, et une grande majorité des motards circulaient sans protection adéquate.